La médecine Régénérative est au centre de la Nouvelle Médecine Holistique

Dans le cadre de la longévité optimale voire du rajeunissement, nous avons la médecine régénérative, qui est une nouvelle discipline médicale qui est enseignée dans les facultés de médecine progressistes, surtout aux Etats-Unis. Vu son intérêt, qui ne peut que grandir avec le temps, comme la médecine quantique, la médecine épigénique et autres, nous avons acheté les domaines www.médecinerégénérative.com et son .org aussi, que nous développeront ultérieurement via un site web. Nous avons également interviewé à San Diego, Californie l’un des praticiens les plus connus dans ce domaine qui fait du bon travail. Vidéo disponible quand ca sera possible.

L’objet central de cette médecine est de régénérer les vieux tissus (cellules, organes), voire certains gènes, ainsi que de réparer ceux qui sont endommagés que des tissus ou organes sont altérées par un accident, une pathologie ou le vieillissement. En médecine contemporaine, les moyens principaux tournent autour de thérapies génétique (ou génique) et de la manipulation exogènes des cellules souches. Cette médecine est également plus adapté à traiter les maladies congénitales. La régénération peut se faire in situ par la stimulation des organes endommagés ou en laboratoire (ingénierie tissulaire), ce qui peut éviter une greffe d’organe et les problèmes de rejet tissulaire

La médecine holistique complète cette approche via des technique plus naturelles qui correspondent mieux à l’évolution biologique humaine.

Pratiquées depuis de nombreuses années pour les greffes de peau ou de moelle, ces thérapies dites cellulaires ont bénéficié des avancées scientifiques récentes sur les cellules souches. Leur potentiel est immense : remplacer des cellules déficientes ou disparues par des cellules saines et, donc, régénérer tissus et organes.

Par ailleurs, grâce à des vecteurs viraux porteurs de gènes humains, des cellules souches, éventuellement génétiquement modifiées, ou des biomatériaux, la médecine régénérative vise à apporter un traitement étiologique définitif.

Depuis une quinzaine d’années, la médecine régénérative représente un espoir considérable tant parmi les professionnels médicaux que le grand public. Pourtant, à ce jour, le nombre de traitements de ce type reste limités.

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La salamandre est symbole d’immortalité car son corps peut s’autorégénérer.

Point de départ de la médecine régénérative

Depuis les travaux du scientifique japonais Shinya Yamanaka, on sait maintenant qu’une cellule somatique peut rajeunir, c.a.d. redevenir une cellules non différenciés, voire une cellule souche. Cette reprogrammation cellulaire a été faite vers les 2006 en utilisant quatre “transcription factors”.

Dans ce cadre, Yamanka a en effet démontré qu’il était possible de dé-différencier des cellules adultes différenciés pour qu’elles reviennent à leur état initial pluripotent, (stage iPS, Induced pluripotent stem cells), capable d’engendrer de nouveau n’importe quel type de cellules spécialisées. Grace a ce travail, Yamanaka a eu un prix Nobel en 2012.

La déprogrammation des cellules sénescentes

Dans cette perspective ci-dessus, des chercheurs travaillent sur la reprogrammation des cellules adultes pour que les cellules sénescentes puissent favoriser la reprogrammation des cellules vers un état plus embryonnaire. Par ce fait, non seulement on évite le stress des cellules sénescentes (via inflammation, cancer et vieillissement accéléré), mais on les reprogrammé vers le rajeunissment, (1) ce qui est l’une des mission du Centre Méditerranéen Holistique.

Ainsi, ces scientifiques chercheurs se sont penchés sur la reprogrammation des cellules souches musculaires in vivo, afin de mieux comprendre ce processus et d’identifier de nouveaux facteurs qui pourraient l’améliorer, car le muscle est en principe un tissu très difficilement reprogrammable.

En réaction à une lésion musculaire chez la souris, on constate que des cellules dites « sénescentes» apparaissent. Puis, les scientifiques ont induit la reprogrammation des cellules musculaires grâce au cocktail Yamanaka, afin d’obtenir des iPS. Les chercheurs ont alors comparé le taux de reprogrammation des cellules musculaires en présence ou non de cellules sénescentes. «De manière inattendue, des cellules iPS sont apparues plus efficacement en présence de cellules sénescentes », explique Aurélie Chiche, premier auteur de l’étude. (1)  Ils en concluent que la présence de cellules sénescentes a favorisé le processus de reprogrammation vers l’état iPS. Ainsi, tout n’est pas mauvais chez les cellules sénescentes.

Les scientifiques ont ensuite analysé les molécules sécrétées par les cellules sénescentes. L’interleukine (IL-6), impliquée dans la phase aiguë de l’inflammation, a été identifiée comme étant un facteur favorisant la reprogrammation. Cette étude montre que la reprogrammation cellulaire peut être favorisée par l’action des cellules senescentes dont le rôle était jusqu’à présent ignoré : les cellules sénescentes, et en particulier par la sécrétion d’IL-6 par ces cellules. (2).

L’approche holistique

En dentisterie Holistique, il est possible de transférer les cellules souches des dents de sagesses et les insérer dans une cavité ou une dent est tombée, puis cette cellule souche dentaire s’est redifférenciée en dent complète. (3) D’autres études ont montré que l’on peut aussi utilisé les cellules souches dentaires pour contrer la macular degeneration des yeux. (4).

C’est pourquoi nous investissons dans la reprogrammation cellulaire via la médecine holistique, c.a.d. via des techniques accessible a tout le monde. Déjà, on sait régénérer les cellules immunitaire grace au jeune holistique.

En effet, le Professeur Lango que je suis allé voir à L.A travaille depuis plusieurs années sur ce projet. (5). En outre, il y a plein d’autres procédures holistique et simple qui permet la régénération cellulaire. On travaille dessus.

L’une des techniques holistique pour ce qui est de la régénération cellulaire est l’héliothérapie, la lumière, y compris le laser. Dans ce cadre, il y a quelques études publiées qui ont montrées que le laser a pu provoquer la différentation des cellules dentaires souches  en dentin d’un trou qui a été percé dans une dent d’une souris.

To investigate the efficiency of the lasers, holes were drilled in the molars of rodents and then the dental pulp was treated with low-dose lasers. After 12 weeks, x-rays and microscopy confirmed the lasers had triggered dentin formation. The lasers induce the reactive oxygen species which in turn activate the TGF-β1 complex, causing the dental pulp stem cells to differentiate into dentin”. (6) (Source)

Il y a plein d’autre exemples pour activer des cellules souches afin qu’elles se différencient en cellules et tissus humain, des follicules du cheveu au cellules lymphocytaires en passant par la régénération des os et autres. On est pas arrivé a faire pousser un organe entier comme sait le faire la salamandre et d’autres animaux, mais la science de la médecine régénérative va dans ce sense.

Discussion

Depuis 15 ans, la médecine régénérative (thérapie génétique et cellules souches essentiellement) suscite un espoir considérable chez les professionnels de santé et le grand public. Pourtant, le nombre de traitements relevant de ce type de médecine reste décevant (une quinzaine seulement) avec une efficacité souvent limitée, variable et temporaire.

Dans ce cadre, une commission ad hoc d’experts britanniques réunie par la revue The Lancet a récemment publié ses conclusions sur l’état de l’art en terme de recherche médicale régénérative, ainsi que sur les obstacles qui gênent sa mise en application.Cette commission a également publié des recommandations pour que se concrétisent les avancées dans ce domaine.

Ces recommandations définissent quatre piliers sur lesquels bâtir une meilleure diffusion de la médecine régénérative : une recherche scientifique plus exigeante, de meilleurs modèles de financement, un paysage réglementaire mieux défini et un engagement accru de tous les acteurs : autorités de santé, chercheurs, professionnels de santé, patients et grand public.

Les membres de la commission de The Lancet insistent également sur l’absence de réflexion globale quant à la médecine régénérative : quels enjeux éthiques et économiques, quel soutien à la recherche, quelle prise en charge, quels mécanismes de régulation ? Sans cette réflexion, la confiance du grand public et des professionnels envers cette médecine risque de s’émousser rapidement.

L’une des limites actuelles de la recherche en Médecine Régénérative

A notre connaissance, les scientifiques n’ont pas encore redifférencier des cellules in vivo chez l’humain pour qu’il y ait la régénération d’un nouveau organe. Il y a du progrès et de l’espoir, mais rien  de concluants.

Potentialités de la médecine régénérative

Parmi les applications envisagées, il y a aussi la reconstruction de tissus neuronaux touchés par des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, le Parkinson, Huntington et sclérose en plaque. La médecine régénérative pourrait donc traiter beaucoup de désordres liés au vieillissement précoce, y compris les moelles épinières lésée, les cartilages des genoux et hanches, l’ouïe et faire repousser les dents des “vieux” et moins vieux.

Parallèlement, on commence à savoir cultiver et réimplanter des tissus cellulaires. Au laboratoire, on a déjà reconstitué des tissus fonctionnels à partir de cellules souches. Il serait également possible d’obtenir des cellules souches par dédifférenciation de cellules prélevées sur le patient lui-même. Des cellules de peau, par exemple, ont été transformées en neurones. Mais ces travaux ne sont pour l’instant qu’expérimentaux et leur passage du laboratoire à la chirurgie prendra encore de nombreuses années.

Perspectives d’avenir

A ce jour, la médecine régénérative n’est pas assez connue, ni suffisamment financés, alors qu’elle pourrait apporter beaucoup de bien. Dans cette perspective, la revue britannique The Lancet a créé  une commission sur les raisons de ce trop modeste succès de la médecine régénérative. Composée de 18 spécialistes publics et privés et pilotée par le Pr Giulio Cossu de l’université de Manchester, cette commission pluridisciplinaire a rendu ses conclusions sous la forme d’un long article publié dans cette revue.  Dans ce document, cette commission ad-hoc fait le point sur l’état de l’art en terme de recherche médicale régénérative et émet des recommandations pour que se concrétisent les avancées dans ce domaine.

L’article de The Lancet met en avant la forte discordance entre le nombre d’annonces médiatiques fracassantes sur les résultats d’essais préliminaires et celui de dossiers de demande d’AMM (Autoisation de mise sur le marché). Par exemple, malgré les fréquentes unes de magazine, les cliniciens attendent toujours des traitements régénératifs dans la prise en charge des AVC, de l’infarctus du myocarde, des maladies neurodégénératives, des maladies auto-immunes ou des séquelles de traumatisme.

Parmi les 15 médicaments de médecine régénérative approuvés par la FDA (Food and Drug Administration), la plupart sont des traitements de reconstitution de la lignée hématopoïétique et de l’immunité (à partir de cellules souches du cordon ombilical). Les autres ont pour indication des cancers (mélanome, cancer de la prostate, leucémie, lymphome), la réparation des cartilages ou des gencives, ou le comblement… des rides autour des lèvres (par des fibroblastes).

Dans son rapport, la commission évoque les risques de dérapage éthique générés par la discordance entre l’espoir créé par les médias et le faible nombre de traitements disponibles. Aux États-Unis, plusieurs cliniques privées proposent de soi-disant essais cliniques de traitements régénérateurs à un prix prohibitif et hors des circuits de validation officiels pour ce type d’essais. Récemment, la FDA a émis un avertissement contre une clinique de Floride qui injectait des cellules souches issus du tissu adipeux contre des maladies aussi diverses que la mucoviscidose, la maladie de Parkinson, la BPCO ou la maladie de Charcot.

Les experts de la commission de The Lancet expriment une série de recommandations pour améliorer la recherche de traitements en médecine régénérative : les essais précliniques sur l’animal devraient être menés avec la même rigueur que les essais cliniques sur l’homme et leurs résultats suffisamment détaillés pour juger de l’opportunité de passer en phase 2 ; les établissements de recherche devraient investir pour permettre aux chercheurs cliniciens de passer plus de temps sur leurs travaux de recherche et développer davantage de centres d’excellence pour rendre les essais moins chers à organiser ; priorité devrait être donnée à la recherche sur l’amélioration du rapport coût/efficacité des traitements régénératifs, ainsi que sur leur production à grande échelle.

Les experts de la commission craignent que, en l’absence de traitements disponibles, la société dans son ensemble retire son soutien à la médecine régénérative. Pour éviter cette perte de confiance et d’espoir, ils recommandent que les chercheurs et tous les acteurs concernés s’engagent dans un dialogue public sur leurs activités et sur les avancées réelles du domaine, via par exemple les médias, les forums citoyens ou les réseaux sociaux ; l’examen initial des projets de recherche (en vue de financement) prenne en compte leur contexte social et réglementaire, ainsi que l’ensemble des bénéfices sociétaux attendus ; cette évaluation de la pertinence globale d’un projet nourrisse les débats sur le rapport coût/efficacité et le prix de ces thérapies.

Pour conclure, les experts de cette commission identifient quatre piliers sur lesquels bâtir une médecine régénérative plus concrète : une recherche scientifique plus exigeante, de meilleurs modèles de financement, un paysage réglementaire mieux défini et un engagement accru de tous les acteurs : autorités de santé, chercheurs, professionnels de santé, patients et grand public.

Dans ce cadre, plusieurs États ont programmé des politiques incitatives et des budgets pour la médecine régénérative en raison des coûts des soins liés au vieillissement de leurs populations. Les pouvoirs publics au Japon, inquiet pour les coûts des soins liés au vieillissement de sa population, soutiennent les recherches pour la médecine régénérative, d’autant plus qu’ils ont déjà été récompensés avec le Nobel de Shinya Yamanaka. Une étude américaine estime que la médecine régénérative pourrait économiser 250 milliards de dollars  par année en coûts directs associés à la maladie de Parkinson (à un stade avancé), les problèmes d’audition, les cas de lésion de la moelle épinière, d’insuffisance cardiaque, d’AVC et de diabète insulino-dépendant, etc.

Conclusion

L’Homme pourra-t-il, à l’instar d’autres animaux comme la salamandre, régénérer naturellement tout ou partie de son corps si complexe ? Pourrons-nous faire repousser des tissus ou même des organes entiers ? Les paralytiques pourront-ils remarcher ? Et, si l’on pousse plus loin, pourrons-nous vivre très longtemps en bonne santé, plusieurs centaines d’année grace à l’auto-génération de la salamandre  ?

L’apparition des techniques scientifiques ultramodernes, telles que la génomique, la thérapie génique, la biologie cellulaire ou le clonage thérapeutique voire la médecine quantique laissent penser que la régénération d’une partie du corps humain est désormais chose possible, graçe a quoi l’on pourrait plus facilement résoudre les maladies dégénératives liées au vieillissement accéléré et prolonger la vie au-delà des 122 ans, le record de la longévité humaine, et ce, avec une bonne qualité de vie.

Ci-dessus: Le Héros de la super-régénération cellulaire, l’axolotl. Est-ce que cette capacité à régénérer et faire repousser la plupart de ses organes, et meme une partie du cerveau serait du à ses plumes rouges, sa tendresse ou son sourire ? Le génome de l’axolotl est l’une des instructions génétiques la plus importante et complexe. Séquencée e 2018, avec  32 billions (milliards) de base pairs alors que l’humain n’en a que 3 billions de base pairs dans son ADN) son vaste génome confirme que sa capacité à l’auto-régénération est le résultat moins des gènes spécifiques de la régénération cellulaire que du bon code, du juste signale entre gènes qui déterminent l’auto-génération des salamandres en général et du axolotl en particulier.  (Source) 

Notes de Références

(1). Injury-induced senescence enables in vivo reprogramming in skeletal muscle, Cell Stem Cell, 22 décembre 2016. Aurélie Chiche1, 4, Isabelle Le Roux2, 4, Mathieu von Joest1, Hiroshi Sakai2, Sabela Búa Aguín1, Coralie Cazin1, Rana Salam1, Laurence Fiette3, Olinda Alegria1, Patricia Flamant3, Shahragim Tajbakhsh2, *, Han Li1,*,‡

(2). Ibid.

(3). Cf. http://holistictooth.com/2021/06/21/dental-stem-cells-grow-new-teeth/

(4). https://www.advancells.com/events/tooth-fairy-a-new-paradigm-shift-by-stem-cells/

(5). Lango.

(6), Photoactivation of endogenous latent transforming growth factor-1 directs dental stem cell differentiation for regeneration. Sci. Transl. Med. 6(238), 238ra69 (2014)D; Wyss Institute press http://wyss.harvard.edu/viewpressrelease/155/researchers-use-light-to-coax-stem-cells-to-repair-teeth  Voir aussi ces autres références: http://holistictooth.com/laser-and-tooth-growth/ http://happinessmedicine.com/helio-therapy/

. Lorsqu’une cellule subit un stress, elle finit par entrer dans un état de sénescence, c’est-à-dire qu’elle ne prolifère plus. Ce type de cellules apparait souvent dans un contexte hostile : vieillissement, cancer, irradiation, chimiothérapie, agressions extérieures etc

Pour aller plus loin au niveau de la recherche.

Les conclusions de la commission de The Lancet sur la médecine prédictive

Cossu G et al. « Lancet Commission: Stem cells and regenerative medicine. » Lancet. 2017 Oct 3.

La liste des traitements régénératifs autorisés par la FDA

« Approved Cellular and Gene Therapy Products », 19 octobre 2017

Le communiqué de presse de la FDA sur les débordements éthiques de la médecine régénérative aux Etats-Unis

« Statement from FDA Commissioner Scott Gottlieb, M.D. on the FDA’s new policy steps and enforcement efforts to ensure proper oversight of stem cell therapies and regenerative medicine », 28 août 2017

Séquelles d’AVC : résultats préliminaires mais encourageants d’injections cérébrales de cellules souches (juin 2016)

Cellules souches “STAP” : un des co-auteurs demande le retrait de la publication dans Nature (mars 2014)

Médecine régénérative : autorisation en France de la recherche sur les cellules souches embryonnaires (juillet 2013)

Sources : The Lancet

https://www.vidal.fr/actualites/22310-medecine-regenerative-comment-passer-de-l-espoir-a-la-pratique-medicale.html

MÉDECINE RÉGÉNÉRATIVE : COMMENT PASSER DE L’ESPOIR À LA PRATIQUE MÉDICALE ?

Par Stéphane KORSIA-MEFFRE – date de publication : 09 novembre 201

 Mason C, Dunnill P. « The strong financial case for regenerative medicine and the regen industry » Regen Med. 2008 May;3(3):351-63. PMID 18462058 [archive]DOI:10.2217/17460751.3.3.351 

https://plus.google.com/+UNESCO [archive]« VOLZ » [archive], sur UNESCO (consulté le 29 mars 2020)

(Center for Biomedical Engineering, MIT)

National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine (2019) Exploring Sources of Variability Related to the Clinical Translation of Regenerative Engineering Products: Proceedings of a Workshop. Washington, DC: The National Academies Press. 130p, SBN: 978-0-309-48909-6 | DOI: https://doi.org/10.17226/25371 [archive] | https://doi.org/10.17226/25371 [archive].

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